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souvenirs d'une belle journée d'été
Dansante sur la piste, virevolte à côté du ciel ta jupe
Prestement contre la terre, clapotent tes pieds comme l'orage
Tourbillonnante et égotiste, un talent dupe
Gaiement sous le tonnerre, cette larme, ton trucageJamais tu n'as daigné aimer mes offrandes
Menteuse comme dans mes premiers rêves
Si tu pouvais chuter, que ton corps se fende
J'en rirais, joyeux, sans la moindre trêveBéate de ta fièvre turquoise et imparfaite
Truande et mesquine, papillonnant des signes
Quémandant ma crédulité, j'ai effleuré la défaite
Sans ciller, une requête, ton expression maligneHypocrite, sans la moindre rancune, sans la moindre rancœur
Je paie à t'abandonner, te rejeter, mais tu croules sous l'avidité
Une sangsue, s'en fut trop, j'ai fuit avec ton bonheur
Qu'est d'aveuglément abuser des autres, délaissant la pitiéSeule, désarrimée, le siphon t'emporte au loin
Tes yeux voient cet avenir monstre, ce mauvais présage
Des bribes de ton élégance, des volutes de ton parfum
Tu espérais trouver une nouvelle ancre, esquiver le naufrageGaiement sous le tonnerre, cette larme, ton trucage
Tourbillonnante et égotiste, un talent dupe, merveilleux
Prestement contre la terre, clapotent tes pieds comme l'orage
Dansante sur la piste, virevolte à côté du ciel ta jupe bleueme_21032018
tsunn_________________________________________________________
Texte écrit pour un concours, dont le thème était :
" "La fille en Jupe Bleue."
Pas très long, je vous l'accorde. Faites ce que vous voulez. Les mots 'Jupe Bleue' ne sont même pas obligés d’apparaître clairement dans le texte, juste une allusion suffit."Voici les textes des autres participants : à ajouter
votre commentaire -
Si le monde des sirènes enlevait ma haine
Qu'en tout temps tout honneur
Je n'ai plus de peine
A mon âme à mon cœur
Chers à l'éveille
J'ai cherché la veille
Un instant où poser mon fusil
Un endroit pour arrêter l'ennemiMais la réalité m'aveugle et m'assène
J'ai perdu pied et suis tombé sur scène
La peur m'enserre et j'en pleure
J'ai regardé la fenêtre et mes frayeurs
Je tremble d'horreur
Dehors se trempe d'orgueil
Or à cette heure
L'obscurité emplit mon cercueilsa_17032018
tsunn
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